Ici la chanson d'Anne Sylvestre "J'aime les gens qui doutent" s'est transformée en "J'aime les villes qui brûlent" car selon qui l'allume, le feu ne génère pas la même chaleur :
Il y a le feu allumé par les oppresseurs : ce feu là consume ! Les cendres qui en résultent tombent lourdement sur le sol pour rester dans une immobilité morne.
Il y a le feu allumé par les oppressé·es : ce feu là ravive ! Les cendre qui en résultent voltigent joyeusement dans tous les sens pour (se) reconstruire !
Édition limité à 66 exemplaires relié à la main
Format : 15x15cm
Pages : 28
Impression : Linogravure (couverture) et Risographie (intérieur)
Risographie imprimé par La lanterne